Le dirty talk est une pratique sexuelle dans laquelle les partenaires utilisent des mots et des sons pour augmenter l’excitation et le plaisir sexuel mutuel.
Il peut inclure des sons ou des mots simples (comme “oui”, “plus” ou un gémissement). Il peut inclure aussi des phrases qui décrivent ce qui se passe, ou des idées plus complexes qui détaillent une action à venir ou construisent un fantasme.
Que se cache-t-il vraiment derrière ce terme ? Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur le Dirty Talk !
Sommaire
Dans quel contexte utiliser le Dirty Talk ?
Vous pouvez utiliser le dirty talk dans de nombreux contextes différents : pendant les préliminaires ou les rapports sexuels, lors de séances de masturbation en solo, ou dans le cadre de relations à distance pour favoriser l’intimité et le bien-être sexuel entre les partenaires. Cette technique sexuelle est également un élément clé de la culture BDSM, dans laquelle le partenaire dominant utilise le dirty talk pour exciter et dominer le partenaire soumis.
Quel est l’intérêt du Dirty Talk ?
Cette pratique qui, en soi, n’a rien de dégoûtant, a été surnommée ainsi en raison de la nature graphique du dialogue typiquement associé à la pratique du coït. En gros, dans les mentalités prudes de notre société, le corps est sale et ipso facto, le sexe encore plus alors en parler de façon désinhibée…Ouh lalala…Pas bien ! Attachons-nous donc à démystifier cette idée reçue ridicule.
1) Décomplexer et guider son autre
En vérité, parler crûment est, pour beaucoup, un moyen efficace d’exprimer ce que l’on veut au lit et même d’essayer de nouvelles choses. Combien d’entre vous ont déjà été frustré après un rapport parce que vous n’avez pas osé dire clairement “C’est ça qui me plait! Et comme ça! Et pendant tant de temps!” ?
Selon une étude récente, lorsqu’on montre des signes d’appréhension de la communication sexuelle, ou une peur de communiquer ses désirs et ses besoins sexuels, on ressent moins de plaisir à faire l’amour.
Un moyen d’apprécier davantage le sexe ? Se sentir à l’aise pour parler de ses désirs à son ou sa partenaire ! Le dirty talk n’est donc pas seulement un amusement frivole, mais bien un outil d’amélioration de votre vie sexuelle. Après tout, à moins d’être télépathe comme Jean Grey, votre partenaire peut difficilement deviner ce qui vous plait réellement à moins que vous lui disiez…
2) Renseignement et consentement : dans un seul package
Une bonne règle de base pour le dirty talk est de décrire à votre partenaire ce que vous voulez lui faire avant de passer à l’acte, puis, pendant que vous le faites, de décrire spécifiquement ce que vous aimez dans ce geste.
Bonus ? Cela aide grandement au processus de consentement sans pour autant tuer l’ambiance. Le fait de poser des questions sur les actes sexuels à l’avance, de façon excitante, permet de s’assurer que votre partenaire vous donne le feu vert pour les accomplir. Le double effet kiss-cool du dirty talk : vous excitez votre partenaire tout en ayant toutes les infos nécessaires pour le ou la faire grimper au rideau.
3) La Séduction, chéri.e
Les études montrent que les cerveaux des hommes et des femmes sont programmés différemment lorsqu’il s’agit de captiver leur attention. Les hommes sont typiquement plus singuliers dans leur concentration (en d’autres termes, faire une chose à la fois de façon méthodique et soignée), alors que les femmes peuvent avoir plusieurs choses à l’esprit en même temps (Lilou Dallas, multipass!), y compris lorsqu’il s’agit d’excitation sexuelle.
En clair, les femmes seront plus réceptives si leur imagination est stimulée. Parallèlement, les hommes dominent l’utilisation du porno parce que leur excitation a des déclencheurs plus directement visuels.
Le dirty talk facilite ainsi la mise en condition pour une soirée torride. Ce que vous direz dépendra de ce que vous désirez authentiquement dans l’instant, ou de ce qui vous excite, mais cela peut concerner ce que vous avez aimé faire avec votre partenaire dans le passé, ou ce que vous envisagez de faire. Un peu comme narrer votre propre histoire coquine, raconter vos fantasmes en temps réel et recevoir de votre partenaire une réponse favorable ou non, voire même d’autres idées à envisager.
Et pendant que vous vous amusez, donnez à votre partenaire un retour d’information en temps réel sur ce que vous appréciez. C’est un excellent moyen de l’encourager à vous donner plus de ce qu’il/elle aime et de faire de vos ébats sexuels une expérience multi-sensorielle.
Quelques règles de base du Dirty Talk
Le consentement et le respect mutuel sont essentiels. Avant de commencer le dirty talk en personne ou par texto, il convient bien sûr d’en parler avec la personne concernée. Il faut garder à l’esprit que les conversations coquines ne conviennent pas à tout le monde.
Donc, avant de commencer à débiter des phrases explicites, pensez à demander à votre partenaire s’il ou elle est d’accord. Et plus précisément, s’il y a des mots particuliers qui le/la font grimacer ou le/la mettent carrément mal à l’aise. (Pour des raisons évidentes de la gêne de dimension intersidérale que cela pourrait engendrer, nous vous recommandons d’avoir cette conversation lorsque vous n’êtes pas en pleine action).
Quelques exemples pour lancer la conversation
“J’ai fait un rêve particulièrement torride à propos de nous. Je te raconte ?”
“Je vais me glisser dans mon lit et me faire plaisir. Ca t’intéresse de me parler crûment pendant que je le fais ?”
“Je n’arrête pas de penser à la nuit dernière… Tu veux que je te la décrives de mon point de vue ?”
“Parfois, pendant l’amour, j’ai la langue bien pendue. Avant de continuer, je voudrais savoir ce que tu en penses. Est-ce que tu aimes parler de choses cochonnes pendant le sexe ?”
Le début d’une conversation est également un bon moment pour échanger des mots déclencheurs. Discutez du contenu de la conversation coquine pour vous assurer qu’elle respecte les limites et les désirs de chacun.
Par exemple, peut-être que pour vous, ” mignon” est un compliment, mais que votre partenaire l’entend comme une critique. Ou encore, vous aimez qu’on vous traite de “salope/salaud” pendant l’amour, mais que ça ne viendrait pas à l’idée de votre cher.e et tendre, qui vous respecte trop pour ça !
En fait, il s’agit de négocier à l’avance les propos salaces, comme on le ferait pour n’importe quel autre rapport sexuel. Comme dans un contrat BDSM où il faut convenir d’un “code rouge”, certains mots ou certaines phrases peuvent être proscrits pour vous ou votre partenaire, à vous de définir tout le répertoire de ce qui passe VS ce qui tue l’amour.
Les mots sales désignant des parties du corps méritent également d’être discutés. En plus de vous ouvrir un nouvel aspect à la sexualité, le dirty talk est une opportunité d’apprendre à vous connaitre ainsi que votre partenaire plus amplement, et la découverte de soi et de l’autre est toujours un parcours fascinant !
Les trois genres de Dirty Talk
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Onomatopées
Des mots ou des sons isolés. Si certains apprécient de parler beaucoup pendant l’acte, d’autres préfèrent utiliser moins de mots avec une signification pondérée. L’utilisation de mots ou de sons simples pour indiquer le niveau d’excitation – des mots comme “oui”, “plus fort”, “plus” et “plus vite”, ou des sons comme des gémissements, des soupirs ou des halètements ou dire le nom de votre partenaire pendant un moment de passion peut être très excitant. A vous de tester et décider !
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Le narratif “en live”
Décrivez ce que vous faites pendant que vous le faites. Un moyen facile d’incorporer le dirty talk est de décrire ce qui se passe ou ce que vous ressentez à l’instant t.
De simples déclarations de désir comme “Je suis tellement excité en ce moment”, “J’aime quand tu embrasses mon cou” ou “Tu es tellement sexy” peuvent être immensément stimulantes pour votre partenaire. Ces phrases peuvent aider les deux partenaires à se mettre dans l’ambiance en les centrant sur le moment présent et en attirant l’attention sur l’activité sexuelle. C’est une technique très pratique pour le sexting ou autres types de sexe longue distance!
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La mise en scène (et en situation)
Avis aux fans de jeux de rôles, ici il s’agit de construire un univers de fantasmes ! Ce type de dirty talk, plutôt avancé, est une forme de narration : il s’agit de décrire des activités afin de construire un fantasme ou une image particulière pour l’autre partenaire.
Ces descriptions peuvent porter sur votre réalité, que ce soit dans le futur-proche (“Je vais te faire une fellation”), ou un souvenir commun qui vous a particulièrement marqué (“Tu étais trop sexy hier soir”) ou sur un fantasme mutuel (“Imagine que quelqu’un nous regarde faire l’amour”). Vous pouvez même choisir un univers parfaitement fictif, connu ou non, selon ce qui vous tente.
Les fantasmes peuvent révéler un trésor d’énergie sexuelle et d’excitation, mais vérifiez auprès de votre partenaire qu’il ou elle apprécie l’expérience. Après ça, c’est freestyle : l’imagination pour seule limite, ça fait rêver, non ?
Les différents degrés de Dirty Talk
Niveau débutant : le sexting (pour s’échauffer)
Vous êtes vraiment gênés, voire terrorisés ? Commencez votre conversation coquine par texto ! C’est ce qu’on appelle le sexting.
Si vous êtes très effrayé.e à l’idée de commencer à parler de cochonneries verbales, un bon moyen de tâter le terrain (et de vous sentir plus à l’aise) avec votre partenaire est de lui envoyer des SMS coquins et de voir comment il/elle réagit.
Une fois que vous aurez la preuve qu’il/elle aime ça et qu’il/elle vous encourage à exprimer vos pensées coquines, vous vous sentirez beaucoup plus en sécurité et à l’aise pour les exprimer en personne.
Les textos coquins sont également le moyen idéal de faire monter la tension avant un rendez-vous ou d’entretenir la flamme entre eux. Commencez par vous envoyer des sextos. De cette façon, vous pouvez évaluer les réactions de votre partenaire virtuellement, plutôt qu’en face à face. (Il est moins gênant de parler de limites par texto qu’en plein milieu d’une partie de jambes en l’air).
Par texto, contrairement à l’instant t, vous avez le don du temps. Le temps de faire ressortir l’expérience sexuelle et le temps d’être créatif dans ce que vous dites.
Voici quelques exemples de sextos ci-dessous pour créer la conversation sexuelle virtuelle la plus sexy que vous ou votre partenaire ayez jamais eue, selon l’humeur et la situation dans laquelle vous vous trouvez.
1) L’anticipation
“J’ai hâte de te montrer mes nouveaux sous-vêtements, ce soir”.
“Tu as pensé à moi en te touchant, aujourd’hui ?”
2) Dans l’instant
“Je suis tellement excité. Ai-je la permission de me toucher, Maître ?”
“Quand je ferme les yeux, je peux pratiquement sentir la façon dont tes mains tracent les lignes de mon corps… la façon dont tes doigts savent exactement où se placer”
3) Demandes
“Qu’est-ce que tu me ferais si je me présentais à ta porte en tenue BDSM ?”
4) Reconnaissances
“Tu sais exactement ce qu’il faut dire…”
“En un seul texte, tu es capable de me faire perdre mon souffle, de faire rouler mes yeux en arrière et d’accélérer mon cœur.”
5) Après
“Après avoir vu ce que tu peux faire à mon corps en utilisant seulement des mots, j’ai hâte de voir ce que tu peux lui faire en utilisant ta bouche et tes mains… si ça t’intéresse.”
Niveau 2 : Dans la vraie vie
Soyez descriptif ! Chaque conversation est différente et le dirty talk ne fait pas exception à la règle. Si la personne avec laquelle vous êtes vous excite, et vice-versa, c’est qu’il y a des raisons qui vous sont inhérentes et particulières. De la même façon, ce sont les détails de la conversation “salace” qui la rendent si excitante.
Nul doute que le dirty talk vous prendra plusieurs essais avant que vous ne le perfectionniez, ne vous mettez pas la pression. Dans le pire des cas, vous aurez une bonne tranche de rire avec votre partenaire les premières fois.
Il n’y a absolument rien de mal à commencer de façon tranquille avec des : “Oui, j’aime ça”, “Tu es si sexy en ce moment” et “J’adore faire l’amour avec toi”.
Au bout de quelques temps, quand vous vous sentirez davantage à l’aise avec le concept, ces phrases “standard” peuvent être considérablement amplifiées si vous les accompagnez chacune d’un peu de détails descriptifs.
“Oui, j’aime ça” devient “Oh mon Dieu, continue à faire ça. J’adore tes mains sur mon cul/mes boules/ma poitrine/etc. Tu es la personne la plus sexy de la planète”.
“Tu es si sexy en ce moment” se transforme en “Tu es meilleur que tous les fantasmes que je pourrais imaginer. Je t’aime, putain, toi et ta parfaite/délicieuse/sexy grande/petite (partie du corps)”.
“Mon amour, j’adore faire l’amour avec toi” se transforme en “J’adore quand tu saisis les draps quand tu es sur le point de jouir. J’aime la façon dont ton souffle s’arrête quand je mets ma bouche sur ton (insérer le nom préféré du partenaire pour ses organes génitaux). Il n’y a pas d’autre endroit où je préférerais être qu’à l’intérieur de toi/sur toi en ce moment”.
Bref, Cyrano, c’est à vous !
Niveau 3 : Utilisez tous vos sens
L’un des moyens les plus rapides d’augmenter la puissance et la qualité érotique et engageante de votre dirty talk est de commencer à utiliser des mots descriptifs multisensoriels. La plupart des gens utilisent deux de leurs sens primaires : la vue et le toucher (par exemple : “Tu es si sexy/Je te sens si bien”).
S’il n’y a rien de mal à s’en tenir à sa zone de confort en restant dans les paramètres de ces deux sens sexuels dominants, c’est tout de même un peu réducteur… il y a tellement de plaisir à laisser libre cours à son imagination descriptive !
Voici quelques exemples de phrases de dirty talk qui utilisent des descriptions multi-sensorielles :
“Le parfum / le goût de ta peau m’enivre”
“J’adore te sentir jouir”
“Mmmh, bébé, les sons que tu fais me rendent fou/folle”.
“Je veux te baiser jusqu’à ce que je sente cette petite chatte douce se serrer autour de ma bite”.
“Je veux que tu jouisses si fort que je sente ta bite pulser en moi”.
L’importance d’utiliser le bon lexique
Bien entendu, on ne vous incite pas à forcément utiliser trop de grossièretés si cela rebute votre partenaire ! Chacun.e ses goûts et ses limites !
Chaque personne a ses propres mots déclencheurs qui sont trop dérangeants pour elle. Certains adorent les gros mots, d’autres les détestent. Certains veulent que leur langage coquin comprenne des descriptions très cliniques de leurs organes génitaux (pénis, vagin), tandis que d’autres préfèrent l’argot de rue plus sale (bite, chatte, verge, chatte, etc).
D’autres aiment qu’on les appelle “toi pute”, d’autres préfèrent “ma pute” et d’autres encore ne voudraient jamais que vous les appeliez par le mot “pute” au cours de vos ébats, jamais (et ça vaut le coup d’en discuter si vous ne voulez pas vous retrouver avec un coquard plutôt qu’un orgasme!).
Assurez-vous de vérifier auprès de votre partenaire (en dehors de la chambre à coucher, lorsque vous n’êtes pas en train de faire l’amour l’un avec l’autre) s’il y a des mots qu’il ou elle veut que vous évitiez lors de vos conversations coquines.
Et non, cela n’enlève rien à l’aspect excitant de votre coquinerie si vous vous renseignez auprès de votre partenaire. C’est un signe de respect. C’est ce même respect qui vous pousse à demander à votre partenaire si son pénis ou clitoris préfère une stimulation plus douce ou plus ferme. Cela ne gâche pas l’ambiance de prendre la température et …appréhender la situation à sa juste valeur ! Au contraire, ça renforce les sentiments de sécurité, de confort et de connexion.
Larguez les amarres !
Vous vous êtes bien exercés, c’est le moment venu de se dépasser et faire le saut dans l’inconnu !
Au moment où vous lisez ces lignes, vous remarquez peut-être déjà une certaine tension interne, rien qu’à l’idée de dire certaines de ces choses à voix haute. Au début, le simple fait d’ouvrir la bouche et de laisser ces mots sortir peut donner l’impression d’être au bord d’une falaise.
Ce sentiment de risque paralysant est le plus souvent généré par la crainte d’un jugement négatif de la part de l’autre personne, qui peut être amplifiée par le fait d’avoir été élevé dans une famille ou une culture religieuse qui vous a rendu.e sexuellement réprimé.e.
Votre esprit se bloque parce qu’il pense qu’il n’est pas sûr d’aller là où vous allez, et il veut vous protéger pour que vous ne fassiez pas d’erreur et que vous ne ruiniez pas l’image positive que votre partenaire a de vous.
Si vous ressentez cette résistance, vous devez intentionnellement mettre en place un cadre sûr pour parler de cochonneries avec votre partenaire avant de commencer à l’explorer. Dites-lui que vous aimeriez bien pimenter les choses en parlant crûment, sans tabous, mais que vous ressentez un peu d’appréhension et de timidité à ce sujet.
Parlez de vos intentions et des raisons pour lesquelles vous voulez le faire. Convenez d’un commun accord de prendre des risques et de vous accepter l’un l’autre, quoi que vous disiez. Donnez-vous la permission d’expérimenter sans honte, pour le plus grand bien de votre relation.
Cette première discussion est aussi une excellente occasion de parler de vos envies, de vos refus et des limites que vous vous fixez en matière de dirty talk. Le fait de connaître les paramètres de l’autre vous permettra de savoir à l’avance ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas.
Le fait d’avoir ce simple échange à voix haute fera disparaître une grande partie de l’anxiété liée à vos futures escapades sexuelles. Cela dit, même si vous avez eu cette discussion et que vous savez que vous pouvez franchir le pas en toute sécurité, votre esprit essaiera toujours de vous empêcher de vous lancer dans l’inconnu.
Si vous vous retrouvez dans ce moment de blocage, respirez. Regardez votre amoureux.se dans les yeux. Souvenez-vous de la permission qu’il ou elle vous a donnée. Souvenez-vous de l’amour qu’il ou elle vous porte et du fait que vous pouvez lui faire confiance pour n’importe quoi. Brisez ce blocage dans votre gorge comme un grand “fuck you” à la partie irrationnelle de votre cerveau qui veut vous retenir et vous empêcher de vous exprimer pleinement, d’être totalement vu.e et vraiment aimé.e.
Si vous trouvez le courage de traverser ces moments, vous atteindrez un tout nouveau niveau de confiance et d’intimité avec votre partenaire, que vous renforcerez votre confiance en vous et que toute votre relation s’améliorera de façon inattendue.
On espère que ça vous a éclairé sur le sujet ! Et que pour les plus coquins d’entre vous, vous oserez vous lancer… En vous souhaitant, encore et toujours, bien du plaisir !
Références
- Référence du moment : cet épisode d’Arte radio qui parle de Dirty talk, très intéressant pour se faire une idée du sujet, faire un premier pas pour briser le tabou : https://www.arteradio.com/son/61659196/sex_and_sounds_ndeg4_dirty_talking
- Et cette chanson mythique du groupe eighties “Poison” pour vous détendre : Talk Dirty to Me. https://www.youtube.com/watch?v=xCChxBSRo1Y&ab_channel=poisonVEVO
SOURCES
Gode is Love applique des directives strictes en matière de sources d’information et s’appuie sur des livres et sites web de professionnels du secteur, et des études évaluées par des pairs, des instituts de recherche universitaires et des associations médicales.
Voici les sources que nous avons utilisé pour la rédaction de cet article :
- “Dirty Talk” par Lauren Landish
- “Talk Dirty to me” par Claire Delille
- “« Dirty talk » : 15 phrases excitantes à lui murmurer au lit” – Article sur le site de Femme Actuelle, 2019
- “How to Talk Dirty: 7 Tips for Improving Your Dirty Talk” – Article sur le site Masterclass, 2021